10/03/2011
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Ombres maudites, nuits d'exil
à mes basques sans fin
lumière fuyante - tu me tues
jours après jours
Ni vivant ni mort
dans l'entre-deux monde
où même la parole se cache
d'elle même
Lever de grand gris à l'horizon flou
dans sa perpétuelle déconstruction
Le soleil sale me manipule
09:22 Publié dans Texte | Lien permanent | Commentaires (0)
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