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27/11/2016

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Il détruit ce qui est détruit ce qui a été

il nous attire et nous attire sans exister

entre l'absence et la saturation

il est tout car il n'est pas

et rien car il n'est plus

il est le possible incomblé

la béance infime du choc

la lame d'une porte

le champs de contenance

il est le fécond

celui qui s'efface

le seuil qui nous tient

la suture du plus et du moins

le gris ciment des murs

leur effritement

et le commencement des mondes. 

 

18:03 Publié dans Texte | Lien permanent | Commentaires (0)

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