20/03/2016
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L'hiver est lent mais l'hiver est fini
le destin se range
en structure nébuleuse
poussière de hasard
et poussières de poussières
bout(s) de la plus grande des choses
le chemin d'ici à ton front de corail
indistinctement
sans longueur ni temps
la limite du sang
où les algues à ton cou bercent un souffle
et le battement de mes cils physiques.
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