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20/03/2016

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L'hiver est lent mais l'hiver est fini

le destin se range

en structure nébuleuse

poussière de hasard

et poussières de poussières

bout(s) de la plus grande des choses

le chemin d'ici à ton front de corail

indistinctement

sans longueur ni temps

la limite du sang

où les algues à ton cou bercent un souffle

et le battement de mes cils physiques.

 

12:44 Publié dans Texte | Lien permanent | Commentaires (0)

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