07/11/2011
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(à Joëlle Trividic-Lassalle)
Sur le vieux banc des Ursulines
à méditer le bleu d'une porte close
bien des années en cette minute
d'amour d'inquiètude et de tendresse
dans le silence et l'absence d'une inconnue magistrale
à l'aube des aubes
sous les vieilles pierres éveillées
les volets blancs qui dorment
et le parapluie léopard qu'une amie
m'avait donné dans la nuit
un livre se fermait quand un autre s'ouvrait
16:22 Publié dans Texte | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Très joli poème.
Léger , profond, nostalgique.
Fleurant bon le passé...
Léger. Léger.
J'ai suivi une psychothérapie avec Mme Trividic-Lassale.
Je ne l'oublie pas.
Je la remercie.
Avez-vous de ses nouvelles?
Comment l'avez-vous connue?
Sincèrement.
Dolores.
Écrit par : Dolores | 02/03/2013
bonjour dolores,
très enchanté, oui une certaine nostalgie dans les pas qui avancent, non je n'ai pas eu de nouvelles après ce jour étrange, écrivez moi à cette adresse si vous le désirez, ce sera mieux
jeromesuzat@gmail.com
bien à vous
j
Écrit par : jérôme-david | 02/03/2013
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