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04/09/2011

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j'ai bu le poison qui scinde les esprits

vu les portes fractales fleurirent à mes pieds

je n'ai tué personne ni volé aucune âme

et toujours le retour en mon corps fatigué

le miracle affligeant de la réalité

 

19:08 Publié dans Texte | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Debout devant ma fenêtre ouverte sur la nuit d'après la pluie, donnant sur quelques vieilles pierres en murs incertains et deux grands arbres, plus grands que je ne le serai jamais.
Ecouteurs dans les oreilles, j'ai joué deux fois d'affilé Le Baiser.
Les goûts mêlés de la Camel et du viognier en ont été transcendés ; surtout, dans ma tête et dans mon coeur, à nouveau ce choc émotif comme à chaque fois lorsque je reviens vers votre chanson.
(J'aimerai faire un film dont ce seraient les derniers sons ...)

Écrit par : ludo | 04/09/2011

j'allais effacer ce petit texte réservé, mais avec un tel commentaire je ne puis décemment le faire ... (merci)

jérôme-david

Écrit par : cheval blanc | 05/09/2011

Les commentaires sont fermés.