27/03/2015
396
Il est un désert
où tu es sans pourquoi
comme la rose et le souffle
de la joueuse de ney
émanation de la nuit
du précipice infini
dans l'homme érigé là
telle une ronce isolée
qui pousserait à l'ombre
des ombres sans ombres.
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395
Dans les embruns de ton silence
entre les paroles écrites
les blancs scellent au futur
l'abîme inversé
de ton immorale beauté.
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